colonel RENIE

Bonsoir,
Toutes informations biographiques sur ce chef de corps du 27ème BCP avant et après la grande guerre m'intéresse
Merci d'avance
Cor dialement

Bonsoir Patrick

Euh, cette photo viens de ce site ??

http://www.alpins.fr/27eme_BCA_Renie.html

Thierry

Bonjour,
C'est tout le problème, j'ignorai ce site mais je possède la plaquette éditée en son temps où apparait ce colonel.
Cette plaquette est dans "la vie courante" en tout cas dans les mains des descendants de ceux qui l'ont sans doute achetée.
Je doute qu'il y ait maintenant des droits d'auteurs.
Que doit-on mettre alors ? Le nom de l'éditeur sans doute au moins ?
Sur la plaquette rien n'apparait sauf en dernière page: D'ERVILLE, Photo - Menton.
Cor dialement

Bonjour à toutes et à tous,

Patrick BEDIEZ a écrit:

Toutes informations biographiques sur ce chef de corps du 27ème BCP avant et après la grande guerre m'intéresse

Jean RENIE

Chef de bataillon au 27e BCA


Né à Paris le 30 août 1867, fit ses études à l'Externat de la rue de Madrid (1879-1886), alla au Lycée Sainte-Geneviève (1886-1888) entra à Saint-Cyr en 1888 et fut nommé sous-lieutenant au 74e RI en 1890.

Lieutenant instruteur à Saint-Cyr (1895-1900).
Capitaine, élève à l'Ecole Supérieure de Guerre en 1900. Il sert successivemetn comme capitaine à l'état-major du 9e Corps d'Armée ; au 66e RI, à l'état-major de la 6e brigade de cavalerie et à l'état-major du général Léon Durand, membre du Conseil supérieur de guerre.

Chef de bataillon en 1911, il commande un bataillon du 128e RI, puis le 27e BCA, avec lequel il part en campagne.

Marié en 1894, il avait cinq filles.

Après quelques jours seulement de campagne, le 20 août 1914 il trouvait une mort glorieuse à Bidestrof (Lorraine) lors de la bataille de Morhange.

Citation à l'ordre de l'Armée : "Chef de corps d'élite, d'une admirable bravoure et d'une extrême énergie. Le 20 août 1914, au moment d'une attaque allemande, s'est élancé à la charge avec une compagnie de première ligne et est tombé glorieusement frappé à la tête de ses chasseurs".
Il a été fait chevalier de la Légion d'Honneur, à titre posthume, par décret du 24 novembre 1919.

Témoignage : "... J'ai pu me rendre compte (écrit son frère colonel au 5e RI) par le souvenir qu'ont gardé de lui ses anciens subordonnés qu'il avait su obtenir d'eux une grande confiance et une trèvs vive affection. Il avait un tempérament de Chef".

Source : Livre d'or du Lycée Sainte-Genviève

Bonjour à tous,

Un camp porte son nom au Vieil Armand.HWK.

Gallica .bnf



chez Delcampe.

Amicalement et bon week-end.
M & E.